Sur les hauteurs de Naga, dans le nord-est du Raj britannique (Inde), les Konyak partaient à l’assaut des territoires ennemis. Ces redoutables guerriers coupaient la tête des adversaires pour s’approprier la force de leurs âmes. Seuls les plus valeureux pouvaient se faire tatouer le visage, puis le torse et le corps. Malgré l’interdiction britannique, ils ont perpétué la tradition de la chasse à la tête jusque dans les années 60.
Texte : Alexandra Bay – Article publié dans Tatouage Magazine